« Le temps passe et il y met le temps » disait une chanson. Et le temps a passé… après plus de trente années à charbonner joyeusement ici comme ailleurs sur les braises ardentes du répertoire traditionnel québécois,

30 ans de rapaillages et de partage;

30 ans à chanter sans jamais déchanter sur l’accord du pied;

30 ans de camaraderie à l’unisson ou en harmonie;

30 ans à bien s’entendre et des fois à s’attendre.

Après tous ces temps de joie et une grosse peine marquée par le deuil de leur grand Jean-Claude Rossignolet des bois, pourquoi ne pas se faire plaisir et du même coup faire plaisir?  

C’est ainsi que Michel Bordeleau, Michel Faubert, André Marchand et Normand Miron reprennent les grands chemins qu’ils ont tant parcourus. Un ultime tour de leur monde, question de pouvoir offrir une dernière occasion de voir sur les planches, dans un spectacle mis en scène par le regard brillant d’Émile Proulx-Cloutier, 4 charbonniers chanter… Les Charbonniers de l’enfer!

Élisabeth Pion est une pianiste d’exception dont l’approche imaginative et sensible séduit les scènes internationales. Révélation Radio-Canada 2024-2025, elle cumule distinctions et collaborations prestigieuses, que ce soit avec l’Orchestre Métropolitain, l’Edmonton Symphony, Arion Orchestre Baroque, le Toledo Symphony, le Victoria Symphony, l’Orquestra Sinfônica Brasileira ou l’Orchestre classique de Montréal. Son deuxième album, Amadeus et l’Impératrice, est paru chez ATMA Classique, et un enregistrement du Concerto de Ravel avec l’OSTR est attendu en 2025.

Passionnée de musique de chambre, elle partage la scène avec des artistes renommés comme Mark Padmore, Imogen Cooper et le Quatuor Vertavo, et s’est produite dans des salles mythiques telles que le Wigmore Hall, Carnegie Hall et le Barbican. Également compositrice et artiste multidisciplinaire, elle signe des trames sonores primées pour le cinéma et explore sans cesse de nouveaux territoires artistiques.

Musicienne créative, Élisabeth compose. Elle a récemment remporté le X World Short Film 2024 Prize Best Performance award, ainsi que le 2023 Best Original Score du Vesuvius Festival pour sa musique sur le court-métrage de la danseuse Ysabelle Taylor « Spirit of the Tree ». Elle adore rencontrer des esprits inventifs : elle a eu la chance de travailler avec le compositeur Thomas Adès à IMS Prussia Cove, ainsi que Marc-André Hamelin au Banff Centre for Arts and Creativity.

Récitaliste d’expérience, Élisabeth s’est produite au sein de salles prestigieuses telles que le Wigmore Hall et le Weill Recital Hall. On peut l’entendre sur CBC/Radio-Classique, BBC Radio 3 et France Musique. Son jeu riche et audacieux, acclamé par la critique, fait d’elle une figure montante incontournable de la scène classique.

« Un nom à retenir. » – Emmanuel Bernier La Presse

“[…] Pion’s luxuriant musicality undeniably exhilarated” – Ian Cochrane, Bachtrack

Programme: 

Ravel – Miroirs

Bacewicz – Sonate no 2

Chopin – 12 études op.25

Des chansons délicatement déshabillées, détricotées, qui se déploient dans leurs apparats originels. Vives, chargées d’histoires, et toutes pleines d’immenses. Dans ce spectacle solo, Ingrid St-Pierre est portée par l’envie d’exister sur scène librement, en laissant toute la place au cinéma des mots, aux silences, aux détails, aux histoires, aux paysages.

Concert de Noël des élèves de l’école de musique du Centre d’art

Ce projet porte en lui la thématique de l’espoir, ce souffle fragile et lumineux que nous cherchons avec tant de ferveur en ces temps de bouleversements. À travers les ombres et l’incertitude qui marquent notre époque, l’espoir demeure une flamme qui nous guide, un fil d’or qui nous relie les uns aux autres. Dans un monde qui se transforme, parfois dans la douleur et le chaos, nous souhaitons que la musique qui résonne ici offre une lueur d’apaisement, un rayon de lumière dans l’obscurité.

Ce répertoire est une ode à la lumière intérieure et au courage silencieux qui émergent dans les moments difficiles. Ces sonorités visent à créer un espace où chaque auditeur pourra sentir qu’un avenir porteur de beauté et de sérénité est possible. Chaque note et chaque silence sont un message de résilience et de beauté, un appel à la douceur et à la paix. La musique a le pouvoir de nous guérir, de nous unir et de nous élever vers l’avenir, même dans les moments difficiles.

Seule sur scène, entourée de ses instruments à cordes (dont le violoncelle et la viole de gambe), Elinor Frey (Prix Opus – Interprète de l’année 2021 et Prix JUNO 2023) nous invite à découvrir leur personnalité distincte et leurs couleurs tout en relatant l’histoire de chacun d’eux.

Tous les matins d’Elinor, en référence au film Tous les matins du monde, est un récital qui se veut à la fois intime et riche en découvertes, mettant en lumière quelques-unes des plus belles pages de Bach, Dall’Abaco, Telemann, Tartini ainsi que la pièce Les Pleurs (Sainte-Colombe) extraite du film.

Le classique, c’est chocolat!

Tandis que les parents assisteront paisiblement au concert, les enfants de 4 à 10 ans participeront à un atelier créatif dans une salle adjacente. Parents et enfants se rejoindront ensuite pour l’écoute d’une dernière pièce, suivie d’une discussion avec les musiciens… et chocolat chaud!  

Vincent Vallières revient sur scène entouré de ses musiciens pour un tout nouveau
spectacle, où son imposant répertoire s’unit aux pièces de son nouvel album à paraître
à l’automne 2025. Un spectacle à l’image de cet incontournable de la chanson
québécoise: rassembleur, vivant et authentique.

Une jeune fille fugue en voilier pour échapper à la dureté et à l’indifférence de son environnement familial. En naviguant, elle rencontre un berceur de baleine, un couple de reines heureuses et amoureuses, un peu de solitude, et même une tortue bleue. Un duo entre une conteuse et un pianiste, pour un spectacle aux couleurs pastel et aux sonorités contemporaines. Une histoire de libération intérieure et d’affirmation de soi, entre récit initiatique, conte féministe et paysage maritime poétique.

Lauréate du Félix pour Artiste autochtone de l’année et Album de l’année – Langues autochtones au gala de l’ADISQ, du Teweikan dans la catégorie Folk, Meilleure interprétation et Prix coup de coeur du jury au Gala Teweikan et lauréate du Prix de l’auteure-compositeur Autochtone TD de la Fondation SOCAN, Laura Niquay est une artiste atikamekw originaire de Wemotaci en Mauricie.
Elle se démarque par sa voix incomparable et en chantant dans sa langue autochtone: l’atikamekw. Choisie sur la Longue liste Polaris en 2021 et parmi les meilleurs albums de l’année, Waska Matisiwin esr une œuvre sensible et grandiose qui nous dévoile mieux que jamais son univers folk-grunge.
Le spectacle est festif et nous fait vivre une montagne russe d’émotions, le public se laissant guider par le discours calme et authentique de Laura, qui prend le temps de bien transmettre les valeurs de sa culture.
Une nomade bien ancrée dans son temps, une force tranquille qui se forge une place au cœur du paysage musical québécois contemporain.

Batteuse, auteure-compositrice-interprète et performeuse, Lara Klaus crée une musique à la fois captivante et rythmée, qui touche le cœur et fait vibrer les corps. Originaire de Recife, au Brésil, et installée à Montréal, elle a été saluée comme étant « remarquablement polyvalente » par le journal canadien Le Devoir. Lara fusionne avec aisance les rythmes envoûtants des traditions afro-brésiliennes avec les sonorités dynamiques de la soul-pop contemporaine.

Avec un premier album déjà sorti et un second prévu pour 2025, Lara s’est produite sur les scènes de festivals prestigieux, tels que Panela do Jazz (Brésil), le Festival International Nuits d’Afrique et le Festival Musique du Bout du Monde (Québec).

Chaque performance reflète sa passion authentique, sa créativité et son engagement à faire de la musique un vecteur de transformation et de connexion humaine.